

Muriel la sablere a noté :
Bruno Flaujac
Le 2022-02-11 21:59:44
Je suis jeune il est vrai. Mais aux Ames bien nées, la valeur n'attend pas le nombre des années Aller chez le coiffeur est pour moi un calvaire. J'ai les cheveux très raides et je suis coiffée au carré depuis toujours... une bonne soixantaine. Un carré sur cheveux raides doit être parfait sinon c'est très moche . Peu de coiffeur savent les faire "parfait". Avant j'ai été "riche" et je me payais le meilleur coiffeur du lieu où je résidais et j'avais des carrés parfaits entretenus chaque mois . Depuis ma situation s'est dégradée avec mon âge et mon "carré" pareillement. Et puis je suis tombée sur Anaïs, aujourd'hui, chez Bruno FLAUJAC, centre St Christoly à BORDEAUX. Je fréquente ce coiffeur depuis son ouverture (environ 2 ans) dont les prix sont hors concours et qui reçoit sans rendez-vous: l'idéal pour la réfractaire aux coiffeurs devenue pauvre que je suis. J'attribue un OSCAR à Anaïs : elle m'a fait un carré parfait en 20 minutes top chrono (entrée dans le salon puis sortie) avec une technique très particulière et étonnante bien à elle, qu'aucun "grand coiffeur parisien " hors de prix ne m'avait jamais fait de toute ma vie RESULTAT: Mon carré est PARFAITEMENT PARFAIT (et je suis exigeante). C'est le travail et le TALENT d'Anaïs que je vous recommande à 100% : elle a du TALENT FRANÇAIS . Elle est toute jeune, fait ce que les autres ne font pas, est créative et inventive, ce, à un prix défiant toute concurrence (28€). J'espère que son patron lui donnera toutes les primes qui existent car, avec Anaïs, je vais revenir chaque mois faire entretenir mon carré alors qu'avec les autres coiffeuses de ce salon ou d'autres très chers à BORDEAUX ou d’ailleurs , je rechigne durant 6 mois à retourner chez le coiffeur. Bravo Anaïs : vous avez un vrai talent et je vous souhaite le meilleur et une grande carrière dans la coiffure française parce que vous le méritez Phrase que je vous dédis, chère Anaïs : « Je suis jeune, il est vrai; mais aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années » dixit Rodrigue dans « le Cid » Pierre CORNEILLE – an 1636.
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