Il y a trois périodes quand on travaille pour Emeraude : La période rose, la période grise, et la période noire. La période rose (le début) : vous travaillez, vous êtes payé, le gérant est super sympa avec vous. La période grise : vous travaillez mais on vous raconte que les paiements auront du retard. La période noire : vous comprenez que ce n’est pas du retard mais que vous ne verrez jamais votre argent. Et le gérant ne vous prend plus au téléphone.

A fuirPour un photographe, il n’y a que deux moyens de récupérer son argent quand on travaille pour Emeraude : piquer dans la caisse ou leur faire un procès. Bon courage à ceux que ça tente.

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Dépot de plinthe. Trop c'est troA tout ces pseudo-photographes qui fon rien qu’a nous chier dans l’objectif, nous anonçons que nous allons lancer une procédure ; Tous ces auto-entrepreneurs à qui on donne la chance de travailler pour un GRAN studio et pour un GRAN photographe et eux tou ce qui veulent s’est être payé. Pi Koi encore. Dès demain nous allon saisir notre avocat (une minute de chaque coté). Lui non plus sera pas payé. On lui fai l’honneur de travailler pour un GRAN studio et pour un GRAN photographe. Nous n’avon pas peur. Depuis 15 ans que notre société créééééééééeeeeeeee en 2012 existe, notre réputation est fête. Rira bien qui rira le merdier.

Les avis positifs bidons sur Studio Emeraude (suite). C'est tellement facile pour un gérant de rédiger des avis positifs bidons sur sa propre société. A partir d'une même adresse IP on peut créer tous les pseudos qu'on veut... Pourquoi se priver ? C’est tellement plus simple de s’adresser des compliments. Tellement plus facile que de fournir un travail de qualité pour susciter de VRAIS avis positifs. C’est un peu comme se relire pour corriger ses fautes d’orthographe avant de publier : ça demande de l’exigence vis à vis de soi et du respect à l’égard des autres. Deux notions que monsieur Renald Tilly, un sagouin, ignore.

Poursuites judiciaires contre Studio Emeraude, le grand déballage.Les nombreuses condamnations prononcées par le Tribunal de Commerce et le Tribunal d’Instance de Saint-Malo contre la société Studio Emeraude devraient inciter son gérant à se taire. Il n’en est rien. Rappelons-lui qu’énoncer les condamnations dont il a fait l’objet - qu’il tente de dissimuler - n’a rien de diffamatoire ni de mensonger. Ce sont les faits. Quant à ses propres menaces de plaintes (on nous les promet depuis des semaines…), nous sommes beaucoup à les attendre avec gourmandise. Les audiences seront l’occasion de citer chacune de ces condamnations et d’exhiber les documents des cabinets d’huissiers ayant effectué les saisies sur compte consécutives à ces condamnations.

Avis positifs bidonsCe qui est curieux, c'est que les commentaires rédigés par R... T... de Saint-Malo ont disparu eux aussi. Il se reconnaîtra. A bon entendeur...